Nouvelles:

Nouvelle version 2024 du forum installée  !

Menu principal

P'tites conneries

Démarré par Marsu, 22 Avril 2007 à 13:38:37

« précédent - suivant »

mathurine

le nuancier d' Angela Merkel







Celui d'Elisabeth II





Et ceux de Poutine et Trump


Le racisme et la haine ne sont pas inscrits dans les péchés capitaux. Ce sont pourtant les pires. Jacques Prévert

mathurine

Un étudiant japonais vient de battre le record du monde Guinness de claquement de doigts.
Satoyuki Fujimara a claqué ses doigts 296 fois d'affilée en une minute, dans "Tantei! Knightscoop", une émission de télévision japonaise, en présence d'un juge du Guinness World Records.
Accompagné de deux ingénieurs du son professionnels, le juge Kaoru Ishikawa a ensuite passé en revue les images et s'est assuré de ne comptabiliser que les clics audibles et effectués à l'aide du pouce et du majeur :
Le nouveau champion du monde a expliqué qu'il avait appris cette incroyable technique de claquement de doigt grâce à sa mère, lorsqu'il était un adolescent.
France Media Monde




euh, ça sert à quoi, ce genre de record?
Le racisme et la haine ne sont pas inscrits dans les péchés capitaux. Ce sont pourtant les pires. Jacques Prévert

mathurine

#1232
En véritable Pénélope, elle défaisait la nuit ce qu'elle avait fait la journée.... Voilà l'explication.
Le racisme et la haine ne sont pas inscrits dans les péchés capitaux. Ce sont pourtant les pires. Jacques Prévert

mathurine

Un procédé efficace contre l'alcoolisme!

Le racisme et la haine ne sont pas inscrits dans les péchés capitaux. Ce sont pourtant les pires. Jacques Prévert

gargamel

dur dur ... :o heu . .  non  :-[ ....
j'ai mal pour lui  :'( :'( :'(

mathurine

Ouilllllllllllllllllllllle ?
Le racisme et la haine ne sont pas inscrits dans les péchés capitaux. Ce sont pourtant les pires. Jacques Prévert

mathurine

Le racisme et la haine ne sont pas inscrits dans les péchés capitaux. Ce sont pourtant les pires. Jacques Prévert

mathurine

Le racisme et la haine ne sont pas inscrits dans les péchés capitaux. Ce sont pourtant les pires. Jacques Prévert

fredegonde











Les problèmes des boulangers sont croissants...
Alors que les bouchers veulent défendre leur beefsteak,
Les éleveurs de volailles se font plumer,
Les éleveurs de chiens sont aux abois,
Les pêcheurs haussent le ton !

Et bien sûr, les éleveurs de porcs sont dans la merde,
Tandis que les céréaliers sont sur la paille.
Par ailleurs, alors que les brasseurs sont sous pression,
Les viticulteurs trinquent.
Heureusement, les électriciens résistent.
Mais pour les couvreurs, c'est la tuile et certains plombiers prennent carrément la fuite.
Dans l'industrie automobile, les salariés débrayent, dans l'espoir que la direction fasse marche arrière.
Chez EDF, les syndicats sont sous tension, mais la direction ne semble pas au courant.
Les cheminots voudraient garder leur train de vie, mais la crise est arrivée sans crier gare, alors... Les veilleurs de nuit, eux, vivent au jour le jour.
Pendant que les pédicures travaillent d'arrache-pied,
Les croupiers jouent le tout pour le tout,
Les dessinateurs font grise mine,
Les militaires partent en retraite,
Les imprimeurs dépriment et les météorologistes sont en dépression.
Les prostituées se retrouvent à la rue.
Amis, c'est vraiment une mauvaise passe.
Mais rarement les banquiers perdent au change ......
C'est la crise mais c'est joliment dit !

mathurine

Etiquette sur mes nouveaux torchons à rayures noir et blanc : "laver les couleurs foncées séparément".

Comment je fais, moi, je découpe le tissu?
Le racisme et la haine ne sont pas inscrits dans les péchés capitaux. Ce sont pourtant les pires. Jacques Prévert

mathurine

Le racisme et la haine ne sont pas inscrits dans les péchés capitaux. Ce sont pourtant les pires. Jacques Prévert

mathurine

Le racisme et la haine ne sont pas inscrits dans les péchés capitaux. Ce sont pourtant les pires. Jacques Prévert

Stomsed



    Elaine Ambrose
    Auteur, blogueuse affiliée, oratrice comique, éditrice, et organisatrice de retraites qui sait que le rire (et le vin), c'est la santé !


Je partage cette anecdote aussi vraie que pathétique en témoignage de ma sympathie pour d'autres âmes damnées qui, comme moi, traversent et survivent à des épreuves extrêmement humiliantes. Nous faisons partie de ces empotés régulièrement confrontés à des situations traumatisantes pour le commun des mortels. Difficile de faire pire que ce qui m'est arrivé cette semaine: j'ai pété dans une IRM.

En termes médicaux, je m'étais déchiré le ménisque, ce cartilage qui sert à amortir les chocs entre le fémur et le tibia. En termes que n'importe quelle femme d'âge mûr est à même de comprendre, deux démons avaient envahi mon corps et mis mon genou à feu et à sang, en s'acharnant sur mes nerfs avec leurs fourches électriques. La douleur était insupportable, et j'avais tellement mal que je ne pouvais plus me tenir debout, marcher ou même ramper jusqu'au bar le plus proche.

Après cinq jours passés à me gaver de médicaments, j'ai fini par obtenir un rendez-vous chez un chirurgien orthopédiste. Il m'a manipulé le genou jusqu'à ce que j'en pleure et que je menace de lui casser les deux bras s'il n'arrêtait pas (les morceaux de la table d'examen que j'avais arrachés un à un laissaient entendre que j'avais quelque chose de sérieux). Je me suis promis de faire de lui un des sales types de ma prochaine nouvelle. En fin de compte, une véritable sainte m'a prescrit des analgésiques. Ma jambe ravagée s'est rapidement muée en un gros bandage hilarant, et le seul fait de la regarder me faisait hurler de rire.

  Quelques jours plus tard, je suis allée faire une IRM, une procédure d'imagerie par résonance magnétique qui aide à visualiser les ligaments et les joints déchirés. Un très beau jeune homme m'a aidé à pénétrer dans le tube de la terreur, avant de m'immobiliser la jambe. Un peu stressée, je lui ai fait remarquer que je demandais généralement le prénom de mon partenaire avant de me laisser attacher. Ça ne l'a pas fait rire, mais il m'a ordonné de ne pas bouger pendant 45 minutes. J'étais donc seule avec ma douleur lancinante, de plus en plus claustrophobe tandis qu'un tapis roulant m'emmenait vers cette chambre de torture d'un blanc immaculé, priant pour rester immobile. Pour ne rien arranger, mon auditoire n'était pas du tout réceptif à mon humour.

Au bout d'une vingtaine de minutes, j'ai commencé à m'inquiéter. J'étais attachée dans un tunnel et je n'entendais que des bips et des grincements bizarres. Après tout, ils étaient peut-être en train d'établir la liste des organes qu'ils allaient m'enlever pour les revendre au marché noir. Soudain, j'ai été envahie par un sentiment nauséeux, qui précède généralement le moment où je pète. Je me suis mordu la langue, je me suis pincée, et j'ai essayé de me concentrer sur l'image d'une scène champêtre avec une prairie et le murmure d'un ruisseau. J'ai revu ma mère me disant de serrer les fesses. Je me suis tortillée dans tous les sens.

"Restez immobile, s'il vous plaît", a dit une voix à l'extérieur du tunnel de la honte.

Je me suis concentrée sur les lumières et les chiffres qui indiquaient le temps restant. Trois minutes. Je pouvais le faire! Mais mon corps m'a trahie, littéralement à la dernière minute. J'étais coincée, impuissante, et il a fait ce qu'il sait faire de mieux: il a lâché une perle. J'ai pété avec toute la puissance et la détermination d'une équipe de sumo après un dîner dans un restau mexicain. Dans cet espace confiné, on aurait dit qu'une douzaine de cornes de brumes s'étaient mises à sonner. Je ne savais plus si je devais en pleurer ou en rire, ou si je devais prévenir mon fils que j'avais, pour une fois, fait bien mieux que lui dans ce domaine.

"Je crois que nous avons suffisamment d'images comme ça", a dit le beau jeune homme en se retenant de rire.

Le lit magique est ressorti vers la liberté en baignant dans une odeur nauséabonde. J'étais mortifiée: ma prairie bucolique était devenue un champ de fumier. Qu'est-ce que j'avais bien pu manger? J'ai évité de croiser le regard du timide technicien et je suis retournée m'habiller en clopinant. Une fois de plus, je devais me résoudre à ma condition de clown perpétuel et involontaire, d'excentrique, celle qui pète pendant une procédure médicale complexe.

Ce que je sais, c'est que si je dois refaire un IRM, j'irai au Texas. Là-bas, tout le monde pète.
Agitateur de neurones ... ACRObate des maux

mathurine

Ah c'est malin...........  déjà que la perspective de passer une IRM n'est pas drôle, voilà que tu nous ajoutes une crainte lancinante pour la prochaine qu'on devra passer!
Le racisme et la haine ne sont pas inscrits dans les péchés capitaux. Ce sont pourtant les pires. Jacques Prévert

The_Best

Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage... (Sacha Guitry)