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le poid des mots sur acro !!!

Démarré par , 29 Juin 2005 à 09:29:58

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mazurek

 
Dans "Amour" il y a un "A",
Pour te dire que j'ai envie d'être près de toi..
Dans "Amour" il y a un "M",
Pour te dire que je t'aime...
Dans "Amour" il y a un "O",
Pour te dire que cet amour est beau..
Dans "Amour" il y a un "U",
Pour te dire qu'avec moi tu n'as pas perdu...
Dans "Amour" il y a un "R",
Pour te dire que je suis sincère..
Rapelle toi du mot "AMOUR"
Car il existera toujours...

L'amour est une chose essentielle de la vie , peut importe le degré et la personne
Moi j'aime sans compter et je t'aime infiniment mon bébé

mazurek

 
Tu es rentré dans mon coeur
Et tu m'a apporté le bonheur,
Tu m'a pardonné mes erreurs,
Et a soulagé mes peurs

Aujourd'hui c'est fini,
Il n'y a plu que toi dans ma vie,
Tu es celle que je chéri,
Mais le bonheur à un prix,

Tu vis loin de moi,
Et je souffre sans toi,
J'étais sans foi ni lois,
Aujourd'hui je m'offre à toi,

Sans combat sans condition,
Sans secret ni trahison,
Je te devoile ma passion,
Car je t'aime a en perdre la raison

 kikou ;-))))))

Chacun porte le sien
Y tombent pèle-mêle au long des années
Les mots d'ordre et les mots de passe
Les mots banals et les mots crus
Les mots célèbres
Les mots d'amour
Ceux qui se cherchent
Ceux qui se touchent
Ceux qui se donnent
Ceux qui s'échangent
Les bons et les méchants
Les doux et les féroces
Ceux qui répandent la terreur
Les mots d'esprit, les mots de cœur
Les mots du pays
Ceux qui font courir
Car on n'a rien sans mots
Les fins et les derniers...
Quand le sac est plein
On l'accroche à son cou
Avec ce qui tombe sous la main
Et puis on saute.

bisou a ts,

joy ;-)

 re kikou lol


Si mon stylo  
Si mon stylo était magique
Avec des mots en herbe,
J'écrirais des poèmes superbes,
Avec des mots en cage,
J'écrirais des poèmes sauvages.


Si mon stylo était artiste,
Avec les mots les plus bêtes,
J'écrirais des poèmes en fête,
Avec des mots de tous les jours
J'écrirais des poèmes d'amour.


Mais mon stylo est un farceur
Qui n'en fait qu'à sa tête,
Et mes poèmes sur mon coeur
Font des pirouettes.

bisou a ts

joy

mazurek

 Nos chemins se sont croisés
Nos yeux se sont accrochés

Ton sourire est devenu mon soleil
Ta tendresse une grande merveille.

Je t'offre dans mes mains
Mille baisers câlins
Pour que jamais tu n'en sois privé.

bisousss

mick (;-))

mazurek

 rekikou(;-p)

L'air est pour l'homme
ce que tu es pour moi.
Un besoin essentiel
qui envahi mon coeur,
le gonfle,
et le maintien en vie

A ma plus douce qui se reconnaitra.
(du moins j'espere lollll)

Bisous mon ange :-)

mazurek

 j'adore jouer avec les lettres mais pas avec mon coeur mais quand on allie les deux cela donne ca:

J e t'aime et je perds mon sang-froid
O ù pourrai-je enfin t'embrasser?
Y ang et Yin, larmes de joie

MICK

bisousssssss

tristan

 Verba volent... Scripta placent...

Les mots, ces mots, nos chers mots... marière précieuse de celui qui aime à les façonner, les assembler et en faire tantôt des diatribes enflammées, tantôt des bouquets parfumés pour mériter le sourire d'une femme...
Ces mots qu'on murmure doucement à l'être aimé, mais aussi ces mots qui peuvent blesser... décidément je préfère les premiers... et... qu'ils soient dits et donc volatiles ou grifonnés sur un billet glisser vers l'autre et donc gardés dans un reliquaire... ce sont les mots qui donnent la paix et l'amour...
Les mots seront toujours choisis... et nous les aimerons et les echangerons...


mazurek

 kikou
Une petite histoire?
ok alors on y va lollll
 


Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un
billet de 20$. Il demande aux gens :

-Qui aimerait avoir ce billet ?

Les mains commencent à se lever. Alors il dit :
- Je vais donner ce billet de 20$ à quelqu'un de vous, mais avant
laissez-moi d'abord faire quelque chose avec.

Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :

- Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ?

Les mains continuent à se lever.
Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela. Il jette le billet
froissé par terre et saute à pieds joints dessus, l'écrasant autant que
possible et le recouvrant des poussières du plancher.

Ensuite il demande :
- Qui veut encore avoir ce billet ?

Évidemment, les mains continuent de se lever!

Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon...
Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce
que sa valeur n'a pas changé. Il vaut toujours 20$.

Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par
les gens ou par les événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus
rien, mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui
vous aiment !

La valeur intrinsèque d'une personne demeure toujours intacte, elle ne
varie pas selon ce qu'on fait d'elle. Vous pourrez toujours recommencer et
atteindre vos objectifs.


Tout ca pour dire que pe importe ce que l'on fait, ce que l'on dit...., nous resterons tjrs les memes et que rien ne pourra changer

Bisous a tous
MICK


 K.K.O.
 
Un kangourou en kimono kaki
Faisait du karaté
Sur un kiosque de kermesse
Avec un koala et un kakatoès.
 
Les kilos du kangourou,
Les kilos du koala,
Le bec du kakatoès
Ont fini par faire un trou
Dans le kiosque de kermesse.
 
Et quand le kiosque craqua,
Kakatoès, koala,
Kangourou en kimono
furent tous trois mis K.O.
 
Pierre Coran

j'ai trouvé ça pas mal du tout  et vous ???

bisou

joy ;-)

 Les mots, fidèles compagnons du monde sensible, s'enlacent en une danse créatrice pour vivre l'imaginaire ou le réel, l'émotion ou la passion. Ils deviennent alors poèmes intimes ou engagés, poésies d'amour, de doute ou de révolte, encrés de rosée, de larmes ou de sang


joy :)

mazurek

 L'érotisme pourrait être l'art de bien cuisiner ses amours

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Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir
Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'a qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir

Elle a gommé les chiffres
Des horloges du quartier
Elle a fait de ma vie
Des cocottes en papier
Des éclats de rire
Elle a bâti des ponts
Entre nous et le ciel
Et nous les traversons
À chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir
Ne veut pas dormir
Je l'aime à mourir

Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Elle vit de son mieux
Son rêve d'opaline
Elle danse au milieu
Des forêts qu'elle dessine
Je l'aime à mourir

Elle porte des rubans
Qu'elle laisse s'envoler
Elle me chante souvent
Que j'ai tort d'essayer
De les retenir
De les retenir
Je l'aime à mourir
Pour monter dans sa grotte
Cachée sous les toits
Je dois clouer des notes
À mes sabots de bois
Je l'aime à mourir

Je dois juste m'asseoir
Je ne dois pas parler
Je ne dois rien vouloir
Je dois juste essayer
De lui appartenir
De lui appartenir
Je l'aime à mourir

Elle a dû faire toutes les guerres
Pour être si forte aujourd'hui
Elle a dû faire toutes les guerres
De la vie, et l'amour aussi
Moi je n'étais rien
Et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien
Du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir

Vous pouvez détruire
Tout ce qu'il vous plaira
Elle n'aura qu'à ouvrir
L'espace de ses bras
Pour tout reconstruire
Pour tout reconstruire
Je l'aime à mourir

voila pour mon tit ange adoré
bisous tout plein

mazurek

 La mer , cette grande etendue d'eau que l'on ne prend que pour de l'eau
en toi je trouve les mots pour exprimer mes maux
tu es mer cherie la source rencherie ou se consolent les âmes meurtries
entend mes cris mer cherie , car je suis tout de malheur petrie
je remercie le tout haut de t'avoir faites eau


rebisouss

mazurek

 Où est tu mon cœur...
Mon amour, mon bonheur,
Toi qui me fait trembler
Rien que par ta pensée...
Je rêve de partager nos vies,
Vivre dans notre petit paradis,
Rempli de câlins et de tendresse
De sincérité, de respect et de caresses...
Et j'attends patiemment
Espérant chaque jour ce moment
Où nous construirons notre nid,
Où nous avancerons à deux dans la vie...

farad

 Sur un air de guitare enchevêtré
                                                    A  Jamel, frère de lait
 
 
 
 
     Sur un air de guitare enchevêtré, une complainte fuse dans le silence de la nuit
On est deux, on est quatre, on est seul dans la salle qui s'allonge loin de ses murs
Dans l'entre aperçu qui part, qui s'éloigne et s'efface déjà installé dans la mémoire
Comme un enfant qui tire sur le sein de la mère de peur qu'il ne s'assèche
 
Et la mère endormie rêve de rivière
De lait, de miel d'eau et de vin
Pour que l'ivresse de son amour
Soit toujours extatique !
 
Ah les mots !
Cette invalidité rampante qui chante à tue-tête pour la pâleur lascive de la lune
Pour que se calment les marées et s'apaisent les courants ataviques
 
Tourne la page, tourne l'il, et le corps, tourne la terre et les cieux
Cet air fils de la corde, enfant enseveli sous l'oreiller
Quelque part dans le râle langoureux
Dans la promesse morsure qui ricane
Qui chicane pour demain meilleur
 
Je tu
Je nous
Je il ou elle
Je ils ET elles
Regard tourné en soi en toi dans des phrases impossibles impensées insensées
Autrement plus claires que le silence que la mort traversière
Canot vide parti sans âme
 
Cet air de guitare souffle s'essouffle
Enfle à nouveau et  repart
Sur les traces
Caresse lourde
Sourde
SAOULE
                                                                                      AbdelHak  KESSAIR