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Séquence " Emotion "

Démarré par Stomsed, 14 Août 2010 à 13:48:35

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Stomsed

Agitateur de neurones ... ACRObate des maux

douce

nous avons eu la meme émotion ce jour stom bisessssssssss :)))))))))

josie

merci stom mes yeux me pique  :'(
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité

bunni

                                               YouTube - Broadcast Yourself.



Je sais , je l''ai mit en musique , mais je pense qu'il a sa  place ici ............


Le pardon - Forgiveness

phenomene

Parfois, il ne suffit pas de tourner la page.Il faut la déchirer !



Stomsed

Un jour, un fils dit à son père:
-'Papa, veux-tu courir un marathon avec moi?'
- et le père dit 'oui'.
Ils courent ensemble leur premier marathon.
Une autre fois, le fils redemande:
-'Papa, veux-tu courir encore un marathon avec moi ?'
- et le père dit 'oui, mon fils'
Un jour, le fils demande à son père :
-'Papa, veux-tu courir avec moi le Ironman ?'
Le Ironman est le triathlon le plus difficile qui existe :
(nager 4km, faire du vélo pendant 180 km et courir 42 km)
Et le papa dit 'oui'
Le récit semble "simple". Jusqu'à ce qu'à ce que lon on visionne le vidéo...
Il n'y a qu'un seul mot à dire :
RESPECT

YouTube - Broadcast Yourself.
Agitateur de neurones ... ACRObate des maux

kassis

#8
Interdit de pleurer

Vraiment trop beau  :'( :'( :'(
L'amour d'une mère pour son enfant ne connaît ni loi, ni pitié, ni limite. Il pourrait anéantir impitoyablement tout ce qui se trouve en travers de son chemin.

douce

#9
D'une mère à sa fille



dédicace a mes trois filles adorées

kassis

QUE VOUDRAIS-TU FAIRE QUAND TU SERAS GRAND?

Une mère de 26 ans était très pensive en regardant son fils qui se mourait de leucémie terminale. Même si son cœur était abattu par la tristesse, elle conservait un grand sens de détermination. Comme toutes les mères elle souhaitait que son fils croisse et réalise tous ses rêves. Mais maintenant cela n'était plus possible pour son fils. La leucémie ne le lui permettrait pas.

Mais même ainsi, elle voulait que les rêves de son fils se réalisent. Elle prit la main de son fils et lui demanda:

Billy, as-tu déjà pensé à ce que tu aimerais être quand tu grandiras?
As-tu rêvé et pensé parfois à ce que tu ferais de ta vie?

Maman, j'ai toujours voulu être un pompier quand je serais grand.

La mère sourit et dit: Voyons si nous pouvons faire de ton rêve une réalité.

Plus tard ce jour-là, elle se rendit au Poste de Pompiers de Phœnix, Arizona.

Là elle connût le Pompier Bob, un homme avec un cœur grand comme Phœnix. Elle lui expliqua le dernier désir de son fils et lui demanda s'il était possible de donner a son fils de six ans une promenade autour du carré de maisons dans un camion de pompiers.

Le Pompier Bob dit:

Voyez madame, nous pouvons faire quelque chose de mieux que cela. Que votre fils soit prêt mercredi, à sept heures du matin exactement et nous le ferons Pompier Honoraire durant toute la journée. Il peut venir ici à la station avec nous, manger avec nous, sortir avec nous quand nous recevrons des appels pour incendies sur tout notre territoire. Et si vous nous donnez ses mesures, nous aurons pour lui un véritable uniforme de pompier avec un vrai chapeau qui portera l'emblème de la Station de Pompiers de Phœnix, non pas un jouet, mais l'emblème jaune que nous portons et il aura aussi ses bottes de caoutchouc. Tout cela est fait ici à Phœnix, ainsi ce sera facile de l'avoir assez rapidement.

Trois jours plus tard le Pompier Bob alla chercher Billy, il lui mit son uniforme de pompier et il le conduisit de son lit d'hôpital jusqu'au camion-pompe. Billy dût s'asseoir à l'arrière du camion et aider à conduire durant le trajet de retour à la station. Il se croyait au ciel. Il y eut trois appels ce jours-là à Phœnix et Billy a dû sortir pour les trois appels. Il y alla dans trois camions différents.

Il est revenu dans le mini-bus paramédical et aussi dans l'auto du Chef des Pompiers. Ils filmèrent l'évènement pour les nouvelles locales de la télévision. Ayant réalisé son rêve et avec tout l'amour et l'attention qui lui furent donnés, Billy fut touché si profondément qu'il réussit a vivre trois mois de plus que ce dont n'importe quel médecin pensait qu'il vivrait.

Une nuit, tous les signes vitaux commencèrent à faiblir de façon dramatique et l'infirmier en chef, qui croyait dans l'idée hospitalière que personne de doit mourir étant seul, commença à appeler les membres de la famille pour qu'ils viennent à l'hôpital.

Ensuite, il se souvint du jour que Billy avait vécu comme s'il était un pompier et il appela le Chef de la Station et lui demanda si c'était possible qu'il envoie à l'hôpital un pompier en uniforme pour qu'il soit avec Billy quand il rendrait l'âme.

Et le Chef lui dit:

Nous ferons quelque chose de mieux. Nous serons là dans cinq minutes. Vous pouvez me faire une faveur? Quand vous entendrez sonner les sirènes et verrez clignoter les lumières, avertissez dans les haut-parleurs qu'il n'y a pas d'incendie, mais que le Département des pompiers vient visiter une fois de plus un de ses plus importants membres. Et s'il-vous-plaît ouvrez la fenêtre de sa chambre.

Cinq minutes plus tard, un camion de pompier arriva à l'hôpital avec un crochet et un escalier télescopique qui se levèrent jusqu'au troisième étage où était la fenêtre ouverte de la chambre de Billy et 16 pompiers montèrent dans la chambre de Billy. Avec la permission de sa maman, chacun d'eux l'embrassa et le berça lui disant qu'il l'aimait.

Billy regarda le Chef des Pompiers et de sa voix d'agonisant lui demanda: CHEF, SUIS-JE MAINTENANT UN VRAI POMPIER?

Le chef lui répondit: OUI BILLY, TU L'ES.

A ces mots Billy sourit et ferma les yeux pour la dernière fois.

L'amour d'une mère pour son enfant ne connaît ni loi, ni pitié, ni limite. Il pourrait anéantir impitoyablement tout ce qui se trouve en travers de son chemin.

Marsu

Déjà poster il y a belle lurette mais trop beau

Renseignements s.v.p.

Lorsque j'étais très jeune, mon père a eu l'un des premiers téléphones dans notre voisinage. Je me rappelle très bien la vieille boîte en bois, bien polie, fixée au mur et le petit récepteur noir, bien lustré, accroché sur son côté. J'étais trop petit pour atteindre le téléphone, mais j'étais habitué à écouter avec fascination ma mère lui parler.

Par la suite, j'ai découvert qu'en quelque part, dans ce merveilleux appareil, vivait une personne fantastique - son nom était "Renseignements SVP" et il n'y avait rien que cette personne ne savait pas. "Renseignements SVP" pouvait fournir le numéro de n'importe qui en plus de l'heure exacte.

Ma première expérience personnelle avec ce "génie dans une bouteille" s'est produite un jour où ma mère était partie chez une voisine. Je m'amusais au sous-sol et je me suis donné un violent coup de marteau sur un doigt. La douleur était terrible, mais il ne semblait pas y avoir de raisons pour que je crie... j'étais seul et personne ne pourrait m'entendre et me réconforter.

Je faisais les cent pas autour de la maison, en suçant mon doigt pour finalement arriver devant l'escalier... Le téléphone !!!! Rapidement, j'ai couru chercher le petit tabouret dans la cuisine et je l'ai traîné jusque devant le téléphone. Je suis monté dessus, j'ai décroché le combiné et l'ai placé contre mon oreille. "Renseignements SVP" dis-je dans le microphone, juste au-dessus de ma tête.

Un clic ou deux et j'entends une petite voix claire me dire: "Renseignements".

Je dis alors: "Je me suis fait mal au doigt".
"Est-ce que tu saignes ?" m'a demandé la voix.
Je lui réponds: "Non, je me suis frappé le doigt avec un marteau et ça fait très mal".
Elle me demande alors: " Peux-tu ouvrir la boîte à glace ?"
Je lui répondis que oui je pouvais.
"Alors, prends un petit morceau de glace et pose-le sur ton doigt" me dit-elle.

Après cette expérience, j'ai appelé "Renseignements SVP" pour n'importe quoi. Je lui ai demandé de l'aide pour ma géographie et elle m'a dit où se trouvait Montréal. Elle m'a aidé aussi avec mes mathématiques. Elle m'a dit que le petit écureuil, que j'avais trouvé dans le parc la journée précédente, devait manger des fruits et des noix.

Un peu plus tard, mon petit canari est mort. J'ai donc appelé "Renseignements SVP" et lui ai raconté ma triste histoire. Elle m'a écouté attentivement et m'a dit les choses usuelles qu'un adulte dit pour consoler un enfant, mais j'étais inconsolable. Je lui ai demandé: "Pourquoi les oiseaux chantent si merveilleusement et procurent tellement de joie aux familles seulement pour finir comme un tas de plumes dans le fond d'une cage ?"

Elle a probablement ressenti mon profond désarroi et me dit alors, d'une voix si calme: "Paul, rappelle-toi toujours qu'il existe d'autres mondes où on peut chanter". D'une certaine façon, je me sentais mieux. Une autre fois que j'utilisais le téléphone "Renseignements SVP", "Renseignements" me répondait la voix, maintenant devenue si familière. Je lui demande alors: "Comment épelez-vous le mot réparation ?".

Tout ça se passait dans la ville de Québec. Quand j'ai eu 9 ans, nous sommes déménagés sur la Côte nord, à l'autre bout de la province. Je m'ennuyais terriblement de mon amie. "Renseignements SVP" appartenait à cette vieille boîte en bois de notre maison familiale, et, curieusement, je n'ai jamais songé à utiliser le nouvel appareil téléphonique étincelant, posé sur une table, dans le corridor, près de l'entrée.

Même à l'adolescence, les souvenirs de ces conversations de mon enfance ne m'ont jamais quitté. Souvent, lors des moments de doute et de difficultés, je me rappelais ce doux sentiment de sécurité que j'avais à cette époque. J'appréciais maintenant la patience, la compréhension et la gentillesse qu'elle avait pour consacrer de son temps à un petit garçon.

Quelques années plus tard, alors que je me dirigeais au Collège, à Montréal, mon avion devait faire une escale à Québec. J'avais près d'une demi-heure entre le transfert d'avion. J'ai donc passé 15 minutes au téléphone avec ma soeur, qui vit toujours à Québec. Ensuite, sans penser vraiment à ce que je faisais, j'ai composé le "0" et j'ai demandé: "Renseignements SVP". Miraculeusement, j'entendis alors cette même petite voix claire que je connaissais si bien: "Renseignements".

Je n'avais rien prévu de tout ça, mais je m'entendis lui dire: "Pouvez-vous m'aider à épeler le mot "réparation ?". Il y a eu un long moment de silence. Ensuite, j'entendis une voix si douce me répondre:

"Je suppose que ton doigt doit être guéri maintenant."
Je me mis à rire et lui dit: "C'est donc toujours vous ?".

Je lui dis: " Je me demande si vous avez la moindre idée comme vous étiez importante pour moi pendant toutes ces années".

"Je me demande, dit-elle, si tu sais combien tes appels étaient importants pour moi. Je n'ai jamais eu d'enfants et j'étais toujours impatiente de recevoir tes appels".

Je lui ai dit comment, si souvent, j'ai pensé à elle au cours de ces dernières années et je lui ai demandé si je pouvais la rappeler, lorsque je reviendrais visiter ma soeur.

"Je t'en prie, tu n'auras qu'à demander Sally" me répondit-elle.

Trois mois plus tard, alors que j'étais de nouveau à Québec, une voix différente me répondit "Renseignements". J'ai donc demandé à parler à Sally. "Êtes-vous un ami ?" me demanda la voix inconnue. Je lui répondis: "Oui, un vieil ami". J'entendis la voix me dire: "Je suis désolé d'avoir à vous dire ça, Sally ne travaillait plus qu'à temps partiel ces dernières années parce qu'elle était très malade. Elle est morte il y a 5 semaines déjà".

Avant même que je n'aie le temps de raccrocher, elle me dit: "Attendez une minute. M'avez-vous dit que votre nom était Paul? " Je répondis "Oui". "Eh bien, Sally a laissé un message pour vous. Elle l'a écrit, au cas où vous appelleriez. Laissez-moi vous le lire". Ce message disait: "Dites-lui que je crois toujours qu'il y a d'autres mondes où on peut chanter. Il saura ce que je veux dire".

Je lui dis donc merci et raccrochai. Je savais ce que Sally voulait dire...

kassis

L'amour d'une mère pour son enfant ne connaît ni loi, ni pitié, ni limite. Il pourrait anéantir impitoyablement tout ce qui se trouve en travers de son chemin.

douchkay



Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse